« Pour le gouvernement, cette mesure permettra d’enrayer un "phénomène en augmentation constante". Pour la gauche, opposée à la mesure, celle-ci risque d’affaiblir la protection des salariés. Entre les deux, Me Éric Rocheblave, avocat spécialiste en droit du travail, a un avis intéressant. Selon lui, "l’abandon de poste révèle un mal-être et un manque de dialogue dans les relations employeurs-salariés", et "le sanctionner plus pour l’empêcher » ne risque que de « déplacer le problème vers la multiplication des arrêts de travail ou du quiet quitting". »
PARLONS RH